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 info de la France

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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: info de la France   info de la France I_icon_minitimeÇáÅËäíä 30 íæäíæ 2008, 03:34

Ici je vais regrouper les infos les plus folles et dramatiques de la France Shocked
AFP - dimanche 29 juin 2008, 21h43





Carcassonne: 17 blessés lors d'une journée portes ouvertes dans une caserne

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Dix-sept personnes, quinze civils et deux militaires, ont été blessées dimanche, dont quatre grièvement, lorsqu'un militaire a ouvert le feu à balles réelles pour une raison inexpliquée lors d'une journée portes ouvertes dans une caserne de Carcassonne.
Cinq enfants figurent parmi les blessés, a indiqué la préfecture de l'Aude dans ce nouveau bilan.
"Le drame a eu lieu sur une sorte de rectangle, recouvert de gravier, tout de suite à l'entrée de la caserne, à gauche de la porte d'entrée", selon des témoignages recueillis sur place par l'AFP.
Il s'est produit lors d'une démonstration de libération d'otages du Groupe de commandos parachutistes (GCP) du 3e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa).
Le colonel Benoît Royal, chef du Sirpa-Terre (service d'information de l'Armée de terre), avait auparavant indiqué à l'AFP que quatre blessés étaient grièvement atteints, le pronostic vital étant engagé pour deux d'entre eux.
"Pour une raison incompréhensible, des munitions à balles réelles ont été utilisées à la place de cartouches à blanc", a-t-il indiqué, soulignant "l'incompréhension et la perplexité" de l'armée de terre devant cet événement.
Le préfet de l'Aude, Bernard Lemaire, a précisé sur France 3 qu'un enfant figurait parmi les deux blessés dont le pronostic vital est engagé.
L'auteur des coups de feu, un sergent du 3e RPIMa, a été placé en garde à vue.
"La question qui se pose est +est-ce-que le militaire a fait un geste criminel ou pas?+. Pour l'instant, personne ne peut y répondre", a précisé le préfet.
"La thèse qui prédomine, c'est qu'il y a eu erreur, sous réserve des investigations qui sont engagées par la gendarmerie", a-t-il ajouté.
Selon une source de la direction de la gendarmerie nationale, "des armes ont été saisies et mises sous scellé, et les auditions de plusieurs personnes ont débuté". "Toutes les hypothèses sont envisagées", a ajouté cette source.
Sur place, un couple avec deux enfants, parti avant le drame, a expliqué "avoir assisté à différents exercices" tandis que plusieurs centaines de spectateurs étaient massés "à une distance d'une vingtaine de mètres environ".
Les blessés ont été transférés vers des hôpitaux à Carcassonne, Narbonne, Perpignan et Toulouse et le Plan rouge a été déclenché, a indiqué la cellule de crise à la préfecture de l'Aude.
Cinq hélicoptères, onze véhicules de soins des sapeurs pompiers et deux ambulances du Smur ont été mobilisés.
Le drame s'est produit peu avant 18h00 alors que se tenaient les Journées portes ouvertes, organisées samedi et dimanche à Carcassonne.
Dans un communiqué, le président Nicolas Sarkozy a annoncé qu'il attendait "au plus tôt le résultat des enquêtes déjà diligentées pour en tirer les conséquences qui seront exemplaires".
Il a assuré les familles de "toute sa sollicitude", indiquant qu'il "partage(ait) avec elles leur douleur à l'occasion de ce drame. Mes premières pensées vont aux victimes. Tout sera mis en oeuvre pour les soigner".
La brigade de recherches de Carcassonne, qui a reçu le renfort de la section de recherches de Montpellier, a été dépêchée sur place.
Le Premier ministre François Fillon a demandé "à la justice de faire toute la lumière sur les raisons pour lesquelles des tirs à balles réelles se sont produits lors d'une journée de démonstration au grand public des activités de cette base."
Le ministre de la Défense Hervé Morin s'est rendu dimanche soir à l'hôpital au chevet des victimes à Carcassonne.
"J'ai immédiatement ordonné une enquête de commandement afin que soient déterminées dans les plus brefs délais les circonstances d'un événement aussi dramatique", avait-il précisé auparavant.
Le 3e Régiment parachutiste de marine (RPIMa) compte quelque 2.000 hommes.

Sincerement on ait plus en sécurité nullepart,encore une affaire qui touche des victimes qui non rien a voire dans la stupidité des hommes.... Suspect
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: FBI a la Francaise ....   info de la France I_icon_minitimeÇáÅËäíä 30 íæäíæ 2008, 03:46

Un service de renseignement unifié, "FBI à la française", lancé mardi

info de la France E65B1BF7C77F62A66E99A4B948DD9






La police française fait sa mue en jetant les bases d'un "FBI à la française" avec la création de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), service unifié qui fera ses débuts mardi.
Ce nouvel outil marque la disparition des mythiques DST (Direction de la surveillance du territoire, contre-espionnage) et RG (Renseignements généraux), et sera dirigé par le préfet Bernard Squarcini, un proche du président Nicolas Sarkozy, qui a souhaité cette réorganisation.
Les RG, surnommés "les grandes oreilles" du gouvernement, un type de service unique en Europe, faisaient l'objet de critiques récurrentes et d'accusations d'être une "police politique".
La DCRI se veut un "FBI à la française" en matière de renseignement qui devient une priorité comme dans les armées, selon des sources policières.
Forte de 4.000 fonctionnaires dont 3.000 policiers dits "actifs", la DCRI traitera de ce qui "relève de l'intérêt de la nation": terrorisme, grands mouvements de contestation, intelligence économique. C'est ce que les policiers nomment, dans leur jargon, le "milieu fermé", auparavant du ressort quasi-exclusif de la DST.
Les policiers de la DCRI, dotés de l'habilitation "secret défense", seront implantés par zone dans chaque département.
Trois autres services de renseignement dépendent du ministère de la Défense, dont le plus important, la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, services secrets, qui compte 4.500 agents).
Au total, les services de contre-espionnage et de renseignement comptent quelque 14.000 personnes en France.
confused on se croirait en plein cauchemars là , il vont nous inventé quoi encore ici Rolling Eyes
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: suite des resultats de la fusillade   info de la France I_icon_minitimeÇáÅËäíä 30 íæäíæ 2008, 13:55

AFP - lundi 30 juin 2008, 18h04





Fusillade de Carcassonne: une "erreur humaine", selon la justice

info de la France 8196B481F93B3C427CC9C94ABA550






L'enquête judiciaire sur la fusillade dimanche à la caserne de Carcassonne, qui a fait 17 blessés par balles, privilégie une "erreur humaine" et "un acte involontaire" de la part du tireur, qui devrait être mis en examen mardi pour "blessures involontaires", selon le procureur.
"Des négligences inacceptables" ont été commises et devront "être sanctionnées", a déclaré le président Nicolas Sarkozy, qui s'est déplacé lundi au chevet de victimes à Carcassonne et Toulouse. "Toute la chaîne" militaire impliquée dans ce drame "devra s'expliquer", non seulement le sergent, mais aussi "l'encadrement", a-t-il dit.
"La réaction sera rapide et sévère", a averti le président, chef des armées, avec à ses côtés le ministre de la Défense Hervé Morin et le général Bruno Cuche, chef d'état-major de l'armée de Terre.
La garde à vue du sergent parachutiste de 28 ans, qui a tiré à balles réelles sur la foule lors d'un exercice de démonstration, a été prolongée, a indiqué lundi le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin, en charge de l'enquête.
Parallèlement à l'enquête judiciaire, une "enquête de commandement" a été diligentée par l'armée.
Le sous-officier, sous les drapeaux depuis huit ans et bien noté par sa hiérarchie, devrait être présenté mardi au juge d'instruction. Une circonstance aggravante devrait être retenue contre lui pour non-respect des règles de sécurité.
La garde à vue de trois autres militaires, qui participaient à la même démonstration, a été levée.
Pour la justice, qui dispose de plusieurs films du drame, dont un tourné "en temps réel" par un militaire, l'"erreur humaine" ne fait aucun doute. Le sergent, dont le test d'alcoolémie s'est révélé négatif, s'est trompé entre balles réelles et munitions à blanc, pourtant distinctes, "lorsqu'il a rechargé son arme", selon le procureur.
Il avait sur lui plusieurs chargeurs, a-t-il poursuivi. "Le malheur a voulu qu'il choisisse par réflexe un chargeur qui était dans une poche et qui malheureusement contenait des balles réelles", a ajouté M. Robin.
Ces balles provenaient "d'un résidu de tirs d'une opération qui remontait à fin juin. Il n'est pas normal qu'il les ait eues sur lui", a-t-il poursuivi.
L'exercice des parachutistes du 3e RPIMa, basé à Carcassonne, consistait à "extraire un otage". "Il y a eu à chaque fois quatre militaires qui tiraient à balles à blanc. Tout s'était très bien déroulé jusqu'à la malheureuse sixième représentation" de la journée, a rappelé le procureur.
Les soldats reculaient deux par deux, a-t-il expliqué, et c'est en se retirant que le sergent a dirigé son arme contre un adversaire potentiel. La justice devra notamment éclaircir la raison pour laquelle "le supposé ennemi est sorti de la foule au milieu notamment de jeunes enfants qui étaient dans des poussettes", a ajouté M. Robin.
Le procureur a souligné que d'autres films, dont un tourné par un Anglais, étaient en possession de la justice.
"Sur le coup, les gens tombaient, on a cru que ça faisait partie de l'exercice, et puis on a vu du sang!", a raconté à l'AFP un témoin de la fusillade. "Immédiatement, un responsable a crié au micro depuis le camion-sono: +Arrêtez le feu+!", a poursuivi ce témoin, âgé de 44 ans et qui a souhaité rester anonyme.
Cinq enfants figurent parmi les blessés dont un garçonnet de 3 ans touché au coeur et au bras. Sur les 17 blessés, 15 sont des civils et deux des militaires.
L'état des blessés est "encore préoccupant" mais il "évolue dans le bon sens", a déclaré Nicolas Sarkozy à sa sortie de l'hôpital pour enfants du CHU Purpan de Toulouse.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: le nucléaire   info de la France I_icon_minitimeÇáËáÇËÇÁ 01 íæáíæ 2008, 13:10




Les "sacrifiés des essais nucléaires" portent plainte


L'association des "sacrifiés des essais nucléaires français", qui regroupe des militaires de carrière, des appelés et des civils basés dans le Sahara et en Polynésie lors des essais nucléaires menés par la France a déposé plainte pour "non assistance à personne en danger". Certains d'entre eux ont développé des cancers. La France exige des preuves que ces pathologies sont bien directement liées aux essais nucléaires.

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Ils souffrent "dans leur chair" des retombées radioactives des essais nucléaires menés par la France dans le Sahara et en Polynésie française. L'association des "sacrifiés des essais nucléaires français", qui regroupe entre 150 et 200 militaires de carrière, des appelés et des civils qui ont servi dans de bases à proximité, a annoncé qu'elle avait porté plainte contre X au tribunal correctionnel de Paris pour "non assistance à personne en danger".
Parmi les membres de l'association des "sacrifiés des essais nucléaires français", "beaucoup sont malades, atteints de tumeurs et de cancers, et doivent subir des traitements de chimiothérapie mais l'Etat au nom du secret défense refuse de communiquer les doses radioactives auxquelles ils ont été soumis pendant leur service militaire", précise son président Pierre Pothier.
Mais "l'Etat demande aux vétérans de prouver que leur pathologie est une conséquence des essais nucléaires alors que les Anglais, les Américains et les Australiens indemnisent leurs victimes" fait remarquer Me Véronique de Tienda, une des avocates de l'association.
Entre 1960 et 1996, la France aurait procédé à quelque "210 essais nucléaires", souterrains et aériens, au Sahara (à Reggane) et en Polynésie.


Source: Europe1.fr, Crédit photo: Gamma
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: une liberation tant attendu   info de la France I_icon_minitimeÇáÎãíÓ 03 íæáíæ 2008, 11:11

- jeudi 3 juillet 2008, 15h36





La France célèbre la libération d'Ingrid Betancourt et prépare son retour, vendredi

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La France célébrait jeudi la libération en Colombie d'Ingrid Betancourt en attendant d'accueillir vendredi l'ex-otage, qui a été au coeur d'une mobilisation exceptionnelle dans tout le pays, du sommet de l'Etat jusqu'aux plus petits villages.
Un "rassemblement du bonheur" était prévu en fin d'après-midi devant le parvis de l'hôtel de ville de Paris, où la photo d'Ingrid Betancourt a été déployée pendant des années.
En milieu de journée, la présidence française a annoncé que la Franco-colombienne arriverait en France vendredi dans l'après-midi, à bord d'un Airbus de la présidence française.
L'appareil, à bord duquel ont pris place la famille d'Ingrid Betancourt, le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner et le médecin-chef de la présidence française, était attendu à Bogota entre 08H00 et 09H00 locales (13H00/14H00 GMT) pour des retrouvailles qui s'annonçaient particulièrement émouvantes.
Dans une déclaration faite juste après sa libération, après six ans et quatre mois aux mains de la guérilla colombienne des Farc, Ingrid Betancourt a remercié "sa douce France", où elle a passé une partie de sa vie et fait des études, rendant hommage à tous ceux qui l'ont soutenue.
"Je suis colombienne mais je suis française, mon coeur est partagé (...) Je vais très vite être avec vous, je rêve d'être en France", a-t-elle dit.
Le président Nicolas Sarkozy, qui avait fait de la libération de la Franco-Colombienne une "priorité" de son action diplomatique et multiplié les initiatives en ce sens, a exprimé mercredi soir la "joie immense" de "toute la France", entouré par les enfants de l'ex-otage, Mélanie et Lorenzo Delloye, et sa soeur, Astrid Betancourt.
"C'est le moment tant attendu. Avec toute ma famille, on manque de mots. On n'attend que le moment de serrer maman dans nos bras", a dit Mélanie Delloye, la gorge serrée. "C'est le meilleur moment de ma vie", a assuré son frère.
L'événement faisait jeudi la Une de tous les journaux français, sans exception, tandis que radios et télévisions bouleversaient leurs programmes pour des émissions spéciales.
Les médias français ont surtout mis en avant un succès personnel du président colombien Alvaro Uribe, qui ne semble pas avoir mis au courant les autorités françaises d'une opération de libération menée dans le plus grand secret.
Le bras droit de Nicolas Sarkozy, Claude Guéant, a déclaré que la France n'avait "pas pris part" à l'opération de libération de l'otage par l'armée colombienne.
"Il est vrai que nous ne l'attendions pas à ce moment-là", a reconnu M. Guéant. "Ce dénouement, nous l'avons appris un quart d'heure" avant que les médias colombiens ne l'annoncent, a-t-il dit.
A droite comme à gauche, la classe politique française a été unanime à saluer l'heureux dénouement.
Le chef du parti socialiste François Hollande a souligné le rôle de la diplomatie française, parlant d'une cause qui a dépassé "les clivages, les sensibilités".
Ingrid Betancourt est devenue en France une icône, un symbole du drame des otages dans le monde. Elle a suscité la mobilisation de nombreux artistes, associations, personnalités de tous bords et citoyens ordinaires.
Le portrait de l'otage avait été affiché au fronton de très nombreuses mairies, qui en avaient fait leur citoyenne d'honneur. Eygalayes, un village de 75 habitants dans la Drôme (sud-est), avait même rebaptisé sa place centrale du nom d'Ingrid Betancourt.
En début de semaine, son portrait avait été hissé au Mont Blanc, le plus haut sommet des Alpes.
Les enfants d'Ingrid Betancourt, Mélanie et Lorenzo Delloye, qui avaient 16 et 13 ans lorsqu'elle a été enlevée en février 2002, étaient devenus le fer de lance de la mobilisation. Deux comités de soutien ont multiplié les opérations --marche blanche, concerts, pétitions-- mobilisant sans relâche l'attention des médias et de tout un pays.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: pffff et encore un malade.....   info de la France I_icon_minitimeÇáÌãÚÉ 04 íæáíæ 2008, 10:50

vendredi 4 juillet 2008, 15h53
Vichy: mort d'un forcené qui avait tué une personne et blessé un policier

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Le forcené qui a tué une femme avec un fusil de chasse vendredi à Vichy, puis blessé un policier avant de se retrancher dans un appartement, est décédé des suites de ses blessures après avoir été "très grièvement blessé" lors d'une intervention du GIPN, a indiqué la préfecture.
"Il parlementait avec le GIPN et a tiré un coup de feu en direction des policiers, qui ont riposté", avait déclaré à l'AFP Jean-Yves Hazoumé, directeur de cabinet du préfet de l'Allier.
"Aucun policier n'a été blessé dans l'intervention", a-t-il ajouté.
Les faits s'étaient déroulés peu après 12H30 à la sortie d'un bar du boulevard Carnot où l'homme venait de prendre une consommation et d'avoir une dispute avec un autre client, a expliqué à l'AFP un responsable de la préfecture.
Armé d'un fusil de chasse, l'homme, dont on ignore le profil et l'âge, a tiré sans raison apparente sur une passante qui est décédée après avoir été transportée à l'hôpital. Selon une source policière, la passante a été touchée au thorax.
Au moment où des policiers se sont approchés du forcené, il a tiré dans leur direction, blessant l'un d'eux aux jambes, a indiqué une source policière sans préciser la gravité de la blessure.
L'homme s'est ensuite retranché dans un ancien hôtel transformé en meublé, situé dans le quartier, selon une source policière.
"Il n'y a pas d'otages" avec le forcené, selon les premiers éléments fournis à l'AFP par le procureur de la République de Cusset, Raphaël Sanesi.
Le procureur avait indiqué dans un premier temps que la personne décédée avait été mortellement blessée "dans un établissement de restauration".
Selon la préfecture, le quartier a été bouclé par la police et le GIPN de Lyon était "en cours d'intervention" vers 15H30.
Trois témoins directs de la fusillade dans la rue ont été victimes de malaise, selon la même source.
Outre le procureur de Cusset, le préfet de l'Allier Patrick Pierrard et le maire de la ville Claude Malhuret se sont rendus sur les lieux.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: la France et heureuse de la revoir enfin libre   info de la France I_icon_minitimeÇáÌãÚÉ 04 íæáíæ 2008, 10:54

Ingrid Betancourt "heureuse de respirer l'air de la France"

info de la France 2BAF5EE8238EB1968654B990A4BD29






La Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, ex-otage des Farc, est arrivée vendredi après-midi à l'aéroport de Villacoublay, près de Paris, où elle a été accueillie par le président Nicolas Sarkozy, et s'est dite "heureuse de respirer l'air" de la France.
Sous un ciel estival, vêtue d'un tailleur pantalon bleu marine, souriante, elle a été la première à sortir de l'Airbus présidentiel français, sous l'oeil de dizaines de journalistes et photographes français et étrangers.
En bas de la passerelle, Ingrid Betancourt a donné l'accolade à Nicolas Sarkozy et embrassé son épouse, Carla Bruni, avant d'échanger quelques paroles avec eux en privé.
La voix nouée par l'émotion, Ingrid Betancourt a dit avoir "rêvé depuis sept ans de vivre ce moment" au cours d'une cérémonie sur le tarmac.
"Je dois tout à la France", a-t-elle poursuivi, prenant Nicolas Sarkozy par la main et lui rendant hommage : "Je regarde cet homme extraordinaire qui a tant lutté pour moi et je regarde aussi à travers lui toute la France".
"J'ai beaucoup pleuré de douleur et d'indignation. Aujourd'hui je pleure de joie", a-t-elle encore dit dans un sanglot, sous les applaudissements.
"C'est un moment très, très émouvant pour moi : respirer l'air de la France, être avec vous", a-t-elle déclaré.
"Chère Ingrid, on attendait ça depuis longtemps", a assuré M. Sarkozy.
"C'est toute la France qui est heureuse que vous soyez là et c'est toute la France qui est impressionnée par la façon dont vous êtes revenue, avec ce sourire, cette force", a-t-il ajouté.
"Ingrid Betancourt, bienvenue, la France vous aime!", a lancé le chef de l'Etat.
Mme Betancourt avait été rejointe sur le tarmac par les membres de sa famille, qui se trouvaient à bord de l'avion, parti jeudi soir de Bogota, ses deux enfants Mélanie, 22 ans et Lorenzo, 19 ans, sa soeur Ingrid et son ex-mari Fabrice Delloye.
Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner était également présent.
Ingrid Betancourt a été libérée mercredi, lors d'une opération de l'armée colombienne, après six ans et quatre mois passés aux mains de la guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc).
"Cette opération extraordinaire, parfaite de l'armée colombienne (...) est aussi le produit de votre lutte", a-t-elle encore déclaré.
"Vous m'avez sauvé la vie", a déclaré Mme Betancourt, en expliquant que la France "avait insisté sur le fait qu'elle s'opposerait à une opération militaire qui mettrait en risque la vie des otages".
Ingrid Betancourt a ensuite quitté l'aéroport dans le cortège présidentiel en direction de l'Elysée, où une réception était prévue en fin de journée.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: et voila le Dopage revient   info de la France I_icon_minitimeÇáÌãÚÉ 11 íæáíæ 2008, 13:25

Tour de France: Beltran exclu du Tour

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L'Espagnol Manuel Beltran a été exclu du Tour de France par son équipe Liquigas après le contrôle antidopage positif dont il a fait l'objet en début d'épreuve, a-t-on appris auprès des organisateurs du Tour.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: encore un meutre pfffffffffff   info de la France I_icon_minitimeÇáÌãÚÉ 11 íæáíæ 2008, 13:30

vendredi 11 juillet 2008, 14h14


Un homme recherché pour un quintuple meurtre, dont 4 membres de sa famille

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Un homme de 55 ans est activement recherché pour avoir abattu de balles tirées en pleine tête, ses deux frères, ses deux fils et l'amie de l'un d'eux, lors d'un drame familial aux circonstances encore imprécises, jeudi à La Magdelaine-sur-Tarn, près de Toulouse.
85 gendarmes, dont 20 "strictement sur l'enquête", sont mobilisés pour retrouver le meurtrier présumé, a indiqué le procureur de la République à Toulouse, Michel Valet, précisant que le suspect dont l'identité n'a pas été révélée circulait à bord d'une voiture de marque Fiat, de couleur bordeaux, immatriculée en Haute-Garonne.
Un avis de recherches avec un portrait du quinquagénaire a été diffusé de manière "très large, au niveau national et même au-delà", a poursuivi M. Valet lors d'une conférence de presse.
Les corps de deux frères du meurtrier présumé, âgés de 53 et 47 ans, et de ses deux fils, âgés de 25 et 26 ans, ont été découverts jeudi dans une maison et le garage par les gendarmes, alertés par la cinquième victime, une jeune femme de 20 ans qui est décédée des suites de ses blessures à l'hôpital Purpan de Toulouse.
"Lorsque les secours sont arrivés sur place, elle était dans le coma", a déclaré Claude Gualandris, le maire de la localité qui compte 1.012 habitants, confirmant les propos du procureur selon lesquels "la jeune fille n'a pas pu témoigner".
Les cinq victimes ont été atteintes en pleine tête par des balles de petit calibre, a indiqué le procureur, avec "selon les victimes, une, deux ou trois blessures à la tête".
Aucune information n'a été donnée sur une éventuelle découverte de l'arme du tueur présumé, qui n'habitait pas dans la maison de ses deux frères.
Interrogé sur le contexte familial, Michel Valet, qui s'est refusé à toute information sur les antécédents judiciaire ou psychiatrique de l'auteur présumé des coups de feu, a déclaré: "C'est certainement une situation qui pouvait provoquer au sein de la famille une légitime inquiétude".
Le service d'aide aux victimes a été mobilisé dès jeudi soir de façon à accompagner l'entourage, très affecté par le multiple meurtre, a indiqué le procureur.
Jeudi vers 18H30, pompiers et gendarmes ont été alertés par la jeune femme, qui, était grièvement blessée avant d'être évacuée à Toulouse où elle est décédée. Ils ont découvert trois corps dans la maison, située un peu à l'écart du centre du village, et un autre dans un garage, où se trouvait également la jeune femme, a précisé le maire de la commune.
L'autopsie des quatre hommes devrait être faite vendredi après-midi, celle de la cinquième victime samedi, a précisé le procureur de la République.
Dans le village de La Magdelaine-sur-Tarn, près de la supérette du centre-ville, la stupeur et l'abattement dominaient chez les passants.
"Je ne comprends pas comment cela a pu arriver", a déclaré une jeune femme d'une vingtaine d'années, "amie d'enfance" des trois plus jeunes victimes, visiblement très affectée.
Selon elle, Grégory, 26 ans, avait passé plusieurs années dans l'armée de terre et suivait actuellement une formation. Il était le petit ami de Marion, 20 ans, étudiante pour devenir "conseillère en économie sociale et familiale".
Benjamin, 25 ans, travaillait à Toulouse après des études d'ingénieur à Nancy.
Les trois jeunes gens ont grandi à La Magdelaine avant de quitter le village "mais ils revenaient tous les week-ends", a précisé l'amie d'enfance.
"Vraiment, ils n'avaient pas d'ennemis ni de problèmes avec personne, c'était des gens bien", a-t-elle ajouté
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: ÑÏ: info de la France   info de la France I_icon_minitimeÇáÃÍÏ 13 íæáíæ 2008, 12:16

Quintuple meurtre près de Toulouse: le tueur présumé entre la vie et la mort

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Le meurtrier présumé de cinq personnes tuées par balles jeudi à La Magdelaine-sur-Tarn, près de Toulouse, était dimanche entre la vie et la mort après sa tentative de suicide samedi soir, l'enquête judiciaire se poursuivant pour tenter de faire la lumière sur ses motivations.
Jean-Claude Vacquier, 55 ans, revenu sur les lieux du drame à La Magdelaine, s'est tiré une balle dans la tête, samedi vers 23h50, alors qu'il était sur le point d'être arrêté par les gendarmes.
Grièvement blessé, il a été transporté dans un établissement hospitalier par le Samu. "Son pronostic vital est réservé, voire engagé", a déclaré dimanche matin à l'AFP le vice-procureur du tribunal de grande instance de Toulouse, Bernard Lavigne.
La présence de sa voiture, une Fiat Panda couleur bordeaux immatriculée en Haute-Garonne, avait été signalée un peu plus tôt samedi soir, non loin de la maison, et la zone avait été sécurisée par le peloton d'intervention régional de la gendarmerie.
C'est au moment où l'homme sortait de la maison, que les sommations d'usage lui ont été adressées. Il s'est alors tiré une balle dans la tête, se blessant grièvement, a ajouté le vice-procureur, précisant que les forces de l'ordre n'ont pas ouvert le feu.
Cette tentative de suicide a mis un terme à 48 heures de chasse à l'homme, menée notamment en régions Midi-Pyrénées, où est domicilié M. Vacquier, et Languedoc-Roussillon, où réside sa femme, dont il était séparé.
Soupçonné d'avoir tué par balles deux de ses frères, ses deux fils et l'amie de l'un d'eux à La Magdelaine, à une quinzaine de kilomètres au nord-est de Toulouse, l'homme était depuis activement recherché par une centaine de gendarmes et enquêteurs.
Les corps de ses deux frères, âgés de 53 et 47 ans, et de ses deux fils de 25 et 26 ans, avaient été découverts jeudi soir dans la maison et le garage par les gendarmes, alertés par la cinquième victime, une jeune femme de 20 ans, amie de l'un des deux fils, qui devait décéder des suites de ses blessures à l'hôpital.
Selon le vice-procureur, l'enquête judiciaire a "beaucoup avancé" pour expliquer les motivations du tueur présumé. M. Lavigne a indiqué vouloir attendre la fin des perquisitions en cours dimanche "dans la voiture et au domicile de M. Vacquier", avant d'apporter des éléments plus précis.
"L'enquête a mis en lumière des motivations très variées", a souligné le vice-procureur. "Il semblerait que M. Vacquier ait des problèmes de santé mentale", et qu'il était "très fatigué ces derniers temps, ce qui a pu aboutir au comportement qu'il a eu", a-t-il ajouté.
En instance de divorce, l'homme était, selon la presse locale, déjà recherché par les policiers de Béziers (Hérault) dans une affaire de viol et de violences envers son épouse. Lors des recherches, les gendarmes privilégiaient d'ailleurs la piste menant à Béziers, où réside sa femme, craignant qu'il n'essaye de la rejoindre.
"Il y a effectivement eu un incident avec son épouse et une procédure judiciaire est en cours", a déclaré M. Lavigne, précisant que les mesures de protection dont bénéficiait la femme de M. Vacquier "ont été levées" dimanche.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: signe de paix??   info de la France I_icon_minitimeÇáÃÍÏ 13 íæáíæ 2008, 12:18

L'Union pour la Méditerranée lancée à Paris sous le signe de la paix

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Les dirigeants de plus de 40 pays ont lancé dimanche à Paris l'Union pour la Méditerranée voulue par le président français Nicolas Sarkozy, qui a salué le "geste de paix" des pays arabes participant à ce projet basé sur des partenariats concrets et un équilibre Nord-Sud.
Les chefs d'Etat et de gouvernement se sont retrouvés en milieu d'après-midi dans le cadre prestigieux du Grand Palais, un monument construit au bord de la Seine pour l'exposition universelle de 1900, lors d'une session plénière de trois heures.
Ce sommet a été marqué par une première: le président syrien Bachar al-Assad et le Premier ministre israélien Ehud Olmert, dont les pays sont théoriquement en guerre depuis 1948, se sont retrouvés assis à une même table.
Les deux hommes ont pris place, à distance, autour d'une table ronde, devant les caméras et flashes des photographes.
Le séjour de M. Assad à Paris lui a permis de faire un retour éclatant sur la scène internationale, notamment en affichant sa volonté d'établir des relations diplomatiques avec le Liban.
Reçu dimanche matin à l'Elysée avec le président palestinien Mahmoud Abbas, M. Olmert a estimé pour sa part qu'Israéliens et Palestiniens n'ont "jamais été aussi proches d'un accord" de paix.
En outre, selon des sources israéliennes, la rencontre de Paris a été l'occasion de nouveaux pourparlers indirects entre l'Etat hébreu et la Syrie.
"Le monde entier vous regarde", a lancé M. Sarkozy aux dirigeants présents à l'ouverture du sommet dans l'après-midi.
Le président français, qui coprésidait la rencontre avec son homologue égyptien Hosni Moubarak, a salué "tous les pays arabes" membres de l'Union pour la Méditerranée (UPM) qui ont "fait un geste de paix".
Il a espéré "écrire ensemble notre histoire commune sur un pied d'égalité entre le Nord et le Sud".
M. Moubarak a de son côté souhaité que la "nouvelle phase" lancée par l'UPM soit "la phase de la paix au Proche-Orient".
Cette union regroupe 43 pays, représentant quelque 750 millions d'habitants, du continent européen et de la rive sud de la Méditerranée, une des régions les plus divisées du monde.
Il y avait dimanche à Paris deux absents de marque: le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, qui a jugé le projet "effrayant", et le roi du Maroc Mohammed VI, pour cause d'agenda "surchargé".
Signe de la complexité de l'exercice, aucune "photo de famille" n'était prévue en fin de rencontre. Mais, pour la France, le fait de réunir autour d'une même table des rivaux de longue date a constitué en soi une "victoire".
Le "monde ne va pas être changé" en un jour avec l'UPM, a tempéré le ministre suédois des Affaires étrangères Carl Bildt, reflétant les doutes d'une partie des Européens sur le projet.
La déclaration finale du sommet, notamment le passage sur le processus de paix au Proche-Orient, a fait l'objet de tractations laborieuses.
C'est précisément à cause de ce type de divergences que le "processus de Barcelone", lancé en 1995 entre les Européens et le sud de la Méditerranée, s'est enlisé.
Dans son discours d'ouverture, M. Sarkozy s'est nommément adressé à la chancelière allemande Angela Merkel, qui avait bloqué son projet initial se limitant aux pays du pourtour méditerranéen, pour lui dire que tous partageaient le même intérêt: "que la paix et la stabilité règnent dans la Méditerranée".
Les initiateurs de l'UPM espèrent garantir leur succès en se concentrant sur de grands projets concrets comme la dépollution de la Méditerranée et l'énergie solaire.
Ils insistent aussi sur la volonté d'une parité Nord-Sud, symbolisée par deux coprésidents issus de chacune des deux rives.
Le secrétariat général devrait revenir à une ville du sud. Mais la question est à l'origine de vives rivalités et sera remise à plus tard.
Le financement des projets restera lui aussi à définir une fois passée la grand-messe de lancement.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: suite et fin de cette terrible affaire   info de la France I_icon_minitimeÇáËáÇËÇÁ 15 íæáíæ 2008, 14:35

AFP - mardi 15 juillet 2008, 13h40





Quintuple meurtre: aveux enregistrés de l'auteur présumé, décédé mardi

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L'auteur présumé du quintuple meurtre de La Magdelaine-sur-Tarn, près de Toulouse, décédé mardi après s'être tiré une balle dans la tête samedi, avait prémédité ses crimes, motivés par une rupture conjugale, selon ses propres déclarations enregistrées sur des cassettes audio.
Jean-Claude Vacquier, 55 ans, soupçonné d'avoir tué cinq personnes jeudi soir, dont deux de ses frères et ses deux fils, est décédé mardi vers 04H30, a annoncé le procureur de la République de Toulouse Michel Valet, lors d'une conférence de presse.
Revenu samedi sur les lieux du drame, il s'était tiré une balle dans la tête, peu avant minuit, alors qu'il était sur le point d'être arrêté par les gendarmes, après deux jours de cavale. Grièvement blessé, il avait été transporté dans un établissement hospitalier toulousain et se trouvait depuis entre la vie et la mort.
"Il est possible de dire à l'heure qu'il est qu'il est l'auteur de tous les meurtres et qu'il a agi seul (...) Il a laissé derrière lui un certain nombre de cassettes audio qui comportent pour certaines des déclarations qui reviennent à des aveux", a déclaré le procureur.
"Ce qui s'est passé a été prémédité et organisé", a ajouté M. Valet, se référant à ces cassettes d'une durée de plusieurs heures et dont certaines ont été enregistrées après les crimes, et à un document écrit, également postérieur aux faits.
Dans ces enregistrements, retrouvés dans sa voiture, avec l'écrit et deux des quatre armes à feu en sa possession, M. Vacquier "explique comment il s'y est pris et dans quel ordre", selon le procureur. "Il a d'abord tiré sur ses deux frères (53 et 47 ans, NDLR), puis ses deux fils (25 et 26 ans), puis sur l'amie de l'un des deux fils", a expliqué M. Valet.
"La rupture conjugale" que vivait M. Vacquier, en instance de divorce, semble avoir motivé le drame de La Magdelaine. "Ce qu'il a fait c'était essentiellement à l'égard de son épouse", a indiqué le procureur, confirmant que cette dernière, résidant à Béziers (Hérault), avait déposé plainte le 4 juillet "à la suite de scènes de menaces et de violences".
Jean-Claude Vacquier "était activement recherché et vivait quasiment dans sa voiture", a indiqué le procureur, décrivant "quelqu'un qui depuis très longtemps était très menaçant avec son entourage familial et particulièrement sa femme".
Traqué par une centaine de gendarmes et enquêteurs après le quintuple meurtre, "il a réussi à échapper à un dispositif de recherches considérable", a dit M. Valet, dépeignant "quelqu'un d'organisé et assez efficace dans sa façon d'échapper aux recherches".
Après le quintuple meurtre de jeudi, Jean-Claude Vacquier avait vainement tenté de joindre son épouse au téléphone.
Le procureur a affirmé qu'il n'y avait "pas la moindre ambiguïté" sur les circonstances de l'interpellation du meurtrier présumé, samedi vers 23H50, sur les lieux du drame, où il était revenu.
Lorsqu'il est sorti de la maison, il a été l'objet de "sommations à plusieurs reprises (...), les gendarmes l'ont invité à poser ses armes". "En l'espace de quelques secondes, il s'est tiré une balle dans la tête", a indiqué M. Valet.
"La mort de l'auteur éteint l'action publique", a ajouté le procureur, précisant que les investigations se poursuivaient "pour que les familles aient le maximum de vérité".
Selon les autopsies, les victimes ont été atteintes de deux à six balles de 22 long rifle dans la tête. "On est en droit de penser que l'effet de surprise a pu jouer pour que ça se passe comme ça s'est passé", a déclaré M. Valet.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: ÑÏ: info de la France   info de la France I_icon_minitimeÇáËáÇËÇÁ 22 íæáíæ 2008, 12:56

Réforme des institutions : une victoire sur le fil pour Sarkozy sans bénéfice pour la gauche Suspect Suspect No No No

L'exécutif a senti le vent du boulet sur la révision constitutionnelle, réforme-phare du quinquennat Sarkozy adoptée avec une seule voix d'avance, mais l'opposition, loin d'en tirer profit, voit ressurgir ses querelles internes.



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François Fillon avait beau dire lundi soir que la "victoire" était "belle", les responsables de la majorité ont surtout poussé un "ouf" de soulagement à l'annonce du résultat et se sont gardés de tout triomphalisme. "Nous savions que ce serait très serré, mais pas à ce point-là", confiait le secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian, se refusant à jouer les "farauds" dans les couloirs de Versailles.
Roger Karoutchi, qui n'a pas ménagé sa peine pour convaincre les récalcitrants de son camp, était bien content de voir cet épisode derrière lui. "C'est une opération commando bien menée, bien réussie mais je ne ferai pas ça tous les jours", disait le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement.


En réunissant en octobre dans la commission Balladur des personnalités de droite et de gauche, le président Nicolas Sarkozy espérait un large consensus. L'appel de 17 députés socialistes en mai à chercher un compromis lui offrait une perspective encourageante.
Mais le front du refus s'est finalement resoudé à gauche, encouragé par le détricotage du texte au Sénat en première lecture par une série d'amendements de l'UMP.
Jusqu'au dernier moment, le chef de l'Etat et François Fillon ont dû aller à la pêche aux voix. Au sein même de l'hémicycle du Congrès, les petits mots ont circulé pour tenter de convertir au oui ou à l'abstention les tenants du "non".
Au final, c'est une victoire ric-rac pour le président de la République, qui n'a pas réussi à faire le plein dans son camp, six députés et un sénateur UMP ayant voté contre.
L'opposition aurait pu espérer capitaliser sur ce score sans éclat. Il n'en est rien. Elle se retrouve face à de nouvelles secousses à quatre mois du Congrès de Reims.
Pour le politologue Dominique Reynié, "comme toujours, les demi-succès de Nicolas Sarkozy ne sont jamais des victoires pour l'opposition". Au contraire, ajoute-t-il, "à chaque fois", la gauche est secouée par une "nouvelle crise".
Jack Lang, seul député socialiste à avoir apporté son soutien à la réforme, affraid est le premier à en faire les frais. Pas d'exclusion formelle, mais "il a franchi le Rubicon" et "s'est mis lui-même en dehors du groupe", a estimé le chef de file du PS à l'Assemblée Jean-Marc Ayrault.
François Hollande doit aussi faire face à la division des radicaux de gauche mais surtout à la fronde de certains députés qui ont dit non du bout des lèvres.
Christophe Caresche, Jean-Marie Le Guen, Gaëtan Gorce, et Manuel Valls fustigent une opposition "pavlovienne à tout projet émanant du président de la République".
"Cette ligne de conduite est dangereuse et fait le jeu de celui qu'elle prétend combattre. Elle nous éloigne des Français qui n'écoutent plus un parti réfugié dans une opposition caricaturale", estiment-ils dans une tribune du Monde invitant leur camp à changer radicalement de stratégie.
Quant à Nicolas Sarkozy, même s'il rêvait mieux qu'un score aussi étriqué, il n'entend pas pour autant bouder son plaisir. Celui qui avait l'habitude de dire pendant la campagne présidentielle qu'"une voix de plus" que 50% lui suffisait à être élu a invité les parlementaires UMP à sabler le champagne mercredi à l'Elysée.
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ãõÓÇåãÉãæÖæÚ: nouvelle terrifiantes   info de la France I_icon_minitimeÇáÃÑÈÚÇÁ 30 íæáíæ 2008, 08:40

mardi 29 juillet 2008





L'enfant retrouvé mort à Lagnieu tué à l'arme blanche

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Le garçon de 11 ans, retrouvé mort lundi vers minuit dans une rue de Lagnieu près de la maison où il séjournait pour les vacances, a reçu une quarantaine de coups à l'arme blanche dont un coup fatal au thorax, selon les premiers résultats de l'autopsie.
L'enfant "a reçu de nombreuses plaies à l'arme blanche et est décédé d'une plaie" au thorax, a indiqué mardi soir le procureur de la République de Bourg-en-Bresse? Jean-Paul Gandolière, au sortir de l'examen pratiqué à l'hôpital de Belley (Ain).
"Trois plaies sont profondes de plus de 10 centimètres", a précisé le magistrat qui avait fait état un peu plus tôt d'une quarantaine de plaies à l'arme blanche constatées sur le corps de l'enfant.
"C'est la thèse criminelle qui est maintenant suivie", a-t-il ajouté.
Le procureur avait indiqué en fin d'après-midi que l'enfant n'était pas décédé tout de suite, "puisqu'il a franchi une quinzaine de mètres" avant de mourir, et qu'il avait reçu en outre une dizaine de coups aux bras et aux mains en tentant de se défendre contre son agresseur.
Le petit Valentin, qui séjournait chez le nouveau concubin de sa mère, faisait du vélo lundi soir dans une rue peu passante devant le domicile de ce dernier, lorsque celui-ci s'est aperçu de son absence et s'est mis à sa recherche avec des membres de sa famille, a indiqué la gendarmerie.
Ils ont retrouvé le corps de l'enfant vers minuit, sur le bas côté de cette petite rue étroite, à une cinquantaine de mètres de leur maison, dans le centre de Lagnieu, une ville de 6.000 habitants à 50 km au nord-est de Lyon.
L'enfant présentait des blessures sur le haut du corps, identifiées dans un premier temps par un médecin du Samu comme étant des morsures de chien.
L'enquête avait d'abord privilégié l'hypothèse de l'agression d'un chien errant et/ou d'une chute de vélo, avant qu'un premier examen d'un médecin légiste n'établisse que les blessures évoquaient "plutôt des coups portés avec un objet tranchant".
Aucun témoin n'a assisté à la scène du drame. "On a entendu ni chien, ni voiture et pourtant ça s'est passé à 5 ou 10 mètres de chez nous", a raconté à l'AFP un voisin, Philippe Arrachart, précisant que l'éclairage public de la rue ne fonctionnait pas lundi soir.
Les parents de l'enfant vivent à Porcieu (Isère) et se trouvent en instance de séparation.
Ils ont été entendus dans la journée de mardi puis relâchés, a indiqué à l'AFP le commandant de gendarmerie Dominique Falzon, ajoutant qu'aucune garde à vue n'était en cours et que les auditions reprendraient à l'issue des résultats complets de l'autopsie.
L'enfant était logé chez "un ami de la mère, dans un contexte familial qui ne semblait pas difficile", a précisé M. Gandolière.
De nombreux habitants de Lagnieu étaient mardi en état de choc. "J'ai déjà vu certains de mes administrés, qui sont émus ou choqués, mais il faut rester calme pour respecter la mémoire de cet enfant et laisser travailler les enquêteurs", a déclaré à l'AFP le maire de la petite ville, André Moingeon.
La direction de l'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Lyon, qui a mobilisé une cinquantaine de militaires.
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